liliandre a écrit : ↑lun. oct. 23, 2017 1:52 pm
Louis a une nouvelle copine.
Stephen a trois tétons comme Scaramanga dans l’Homme au pistolet d’or.
Klayley et Howard sont en froid.
Noah veut quitter le chapitre pour le sNomads.
Sevastyan voudrait s’installer aux Etats-Unis.
Klayley et Uncle trafiquent avec des Roumains ou des Albanais.
Il parait gêné.
Certains disent que tu as parlé aux flics en prison après les coups de lames et la protection policière...J'ai croisé Uncle à la sortie d'une réunion, j'ai cru qu'il allait buter quelqu'un. J'ai cru comprendre qu'ils avaient failli en venir aux mains.
Je remercie Francis et lui souhaite une bonne soirée.
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Wright : Si Howard vient, je devrais être avec lui.
Kyle : Sur une rencontre chaude comme celle-là, je n’afficherais pas le Prez et le VP. Sauf si on veut envoyer un signal fort. J’imagine que tu verras ça avec Howard.
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OK, je verrai avec lui. Peut-être que tu viendras avec moi et qu'on trouvera un remplaçant pour le groupe de watch. En tout cas, merci les gars, ça fait plaisir de vous retrouver.
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Y a qu’à demander. Il te passe son portable. Prends celui-là en attendant.
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Merci, mon pote.
Je le prends à part.
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Dis-moi, j'ai entendu dire que certains avaient sorti de la merde sur moi pendant que j'étais en prison. Comme quoi, j'aurais bavé aux flics... Tu sais qui a sorti ces conneries ? Je t'ai déjà dit que je suis persuadé que c'est quelqu'un du gang qui a commandité l'attaque contre moi en prison... Le fait que je survive n'était pas dans ses plans et ceux qui propagent la merde pourraient m'aider à remonter la piste...
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[Es-tu armé ?]
Oui. J'ai un révolver. Dans une poche du blouson. La sécurité est mise.
Avant de rentrer, je téléphone à Lilah pour l'informer que je suis sorti de prison et que je suis au Black Coffee. Si elle veut m'y rejoindre, je peux l'y attendre. Je lui donne le numéro où elle peut me joindre. Je rentre ensuite dans le diner.
Je sors de garde. Et j’enchaine cette nuit. On peut se voir ce WE. Tu tombes bien ma voiture fait un bruit bizarre. Mon ami dit qu’elle broute ?! euh…tu fais pas de conneries d’ici ce WE, hein ?
Je vais essayer...
Promis ?
... Je te promets de ne pas commencer de conneries... Mais parfois, les conneries viennent à toi... Et tu peux que te défendre... On a essayé de me tuer en prison, je te rappelle... Peut-être que ceux qui ont fait ça remettront le couvert... Je serai obligé de me défendre si tu veux qu'on se voit ce week-end... Ouais, Robin, j'arrive. Faut que je te laisse, Lily. On se voit ce week-end. Je passerai chez toi samedi matin pour ta voiture, et on ira casser la graine chez DeMarcus après. Ca te va ?
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[Es-tu accompagné par une autre personne que Robin ?]
Je suis juste avec Robin.
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Va t'installer à une table, je vais passer commande au comptoir.
Nannoh
C'est bon de voir un co-détenu hors les murs.
Il te sert avant même que tu aies commandé.
Je bosse jusqu'à demain matin. Je peux discuter un peu mais il faut que je te présente ma famille. Demain soir ?
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Mets-moi la même chose pour la petite là-bas, s'teu plait...
Je montre du doigt Robin qui s'est installée sur une banquette.
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Ca fait plaisir de te revoir, frère. Demain, ça peut le faire, mais j'ai peut-être un truc avec le club. Je peux passer après... ça peut-être un peu tard. On se donne rencard où ? T'as un numéro où je peux te joindre ?
J'ai un coup d'oeil vers Faith.
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Je peux passer voir la patronne en attendant la commande ?
Je passe par la porte de service pour aller jusqu'en cuisine.
Faith
Elle a fait 5 ans. Tu sais qu’elle a été blessée juste avant la fin de son engagement. Elle devait resigner mais tu constates qu'elle boite légèrement. Difficile de voir si c'est grave ou pas. pour l'instant elle vous tourne le dos, occupée en cuisine.
Tu hoches a tête. Incapable de parler. Une sensation étrange. [per+consc= 6 succès!!!]
Un démon est passé il y a peu, le matin ? Il a utilisé son savoir (tourmenté). Sur Faith.
[per+emp= 2 succès] Elle est épuisée physiquement et moralement.
FOI : Elle a besoin d'aide !
TOURMENT : Un intrus sur notre territoire ?! A poil, accroché au bout d'une chaine à la moto et on le pèle sur le bitume !
Alors que la porte battante se referme d'elle-même, pendant ce court instant, je prends conscience de ce qui a dû se passer il y a peu dans cet endroit. Instantanément, des images de violence me viennent à l'esprit, des images que je n'avais pas ressenties depuis mon arrivée dans ce corps.
Mon visage se déforme dans un rictus de haine, chaque muscle de mon corps se tend, mes poings se serrent jusqu'à couper la circulation dans mes doigts, mes yeux s'injectent de sang à la pensée des sévices que je pourrais faire subir à celui qui a osé toucher à Faith. Instinctivement, la porte de la cuisine se ferme (
Science des portails). La mâchoire serrée, je murmure son prénom.
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Faith...
Prononcer ce mot a pour effet immédiat d'effacer les images et de détendre les muscles de mon corps. Je mets quelques instants à reprendre complètement mes esprits, me reconnectant avec ce lieu, ces fourneaux, ces plans de travail en inox, cet odeur de viande qui grille, le bruit des oeufs et du bacon en train de frire sur la plaque de métal noir... Son visage.
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Faith... Je toussote et ravale ma salive.
Je m'approche d'elle, essayant d'arborer un visage plus avenant.
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C'est moi, Julius. On s'est croisé quelques fois ici... avant que tu partes t'engager sous les drapeaux... avant que je parte en prison... Je suis sorti hier... J'ai appris pour ton père. Toutes mes condoléances... J'aurais aimé être là pour ses funérailles mais c'était pas possible...
Je la prends dans mes bras. Son contact, son odeur me font définitivement oublier les images violentes... au moins tant que je suis avec elle. Je relâche l'étreinte fraternelle.
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J'ai appris ce qui se trame dans le quartier, les rachats, la pression sur les petits commerces... J'ai vu que tu avais pris du renfort. J'indique de la tête mon pote Nannoh.
C'est bien, c'est un bon gars, le Nannoh. C'était mon seul ami derrière les barreaux... Le Club te laissera pas tomber, je vais tout faire pour en tout cas. Faut qu'on se serre les coudes entre voisins... Et puis Max, c'était quelqu'un que j'appréciais beaucoup.
Je fais une petite moue, un peu nostalgique. Je me reconcentre sur elle.
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Toi, ça a pas l'air d'être la grande forme. Faut que tu te ménages... que tu te reposes. S'il faut, on peut te filer un coup de main... On peut envoyer quelqu'un du bar pour passer un coup de balai avant la fermeture ou faire un peu de plonge.
J'approche la main de son front, comme pour prendre la température. Je ferme les yeux, puis les rouvre une fois que j'ai ramené ma main.
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Quelqu'un t'a fait du mal... il y a peu... ce matin... ou t'as dit des choses blessantes... Quelqu'un est revenu te mettre la pression ? Dis moi qui c'est...
La violence repointe le bout de son nez et mes yeux sont le portail vers cette violence.
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... Faith.
Je prononce ce mot comme une prière qui renvoie la violence un peu plus loin au fond de mon âme, pour le moment.
