30/10/17 : Ecole Marchal pour adolescents.

[walena]

Camille ouvre la portière.
Bonsoir.
Il monte passager avant.
J'aime les vieux films. Je viens avec vous. Mon contact nous attend sur les docks. Entrée sud. Le temps que je dois accorder au livre que vous nous avez prêté devra être récupéré. Cela reportera le retour du prêt. Ce n'est pas gênant j'imagine...

Il sort une arme qu'il vérifie. Les deux jeunes se font petits.
Vous devez vous doutez que nous n'avons pas de vendeur sous la main.

Tu roules

J'affiche un sourire léger

-Je me doute...Et cela n'est pas gênant. J'ai toujours eu pour habitude de faire une geste pour aider les étudiants du quartier.

Mon sourire s'agrandit.

-On n'a jamais fini d'étudier. Même pour les esprits brillants et érudits que vous côtoyez...

Mon regard se perd une seconde vers les cieux. Mon ton est des plus sérieux.

-Ce livre mérite que l'on s'y attarde. A n'en pas douter...

Le garde à la guérite sort des jumelles et regarde dans votre direction.

La barrière se lève.

Vous êtes sûr que ca craint pas ?

-Les docks, ça craint. [Connaissance des rue 2]

Je soupire

-Mais ça craint sûrement moins que l'institut...

J'ai un regard vers Camille.

-Merci d'être venu en tous cas. Merci pour eux...

[liliandre]

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J'affiche un sourire léger
-Je me doute...Et cela n'est pas gênant. J'ai toujours eu pour habitude de faire une geste pour aider les étudiants du quartier.

Il sourit. Vous n'avez pas peur que l'élève dépasse le maître ?...

Mon sourire s'agrandit.
-On n'a jamais fini d'étudier. Même pour les esprits brillants et érudits que vous côtoyez...

Il hoche la tête avec sérieux.

Pas de gardien en vue toutes les caméras voient leur diode rouge s'éteindre puis se rallumer sur votre passage.
Vous vous arrêtez dans un endroit vide.
Camille prend son arme.
[Prends-tu ton arme ?]

Au milieu des docks.
Une grue à container qui suit des rails géants se dirige vers vous. Elle porte un container.
Et le pose comme une fleur.
Les jeunes se regardent hallucinés.

Le container s'ouvre.
Tu sens une magie.
Bonsoir. Bienvenue dans la meilleur papeterie de la ville. Et de l'état...
Dans le container du matériel hi-tech et deux vieilles machines. Des outils de faussaire. Des faux papiers. Du vrai papier vierge, des cartes topographique papiers etc...
Bonsoir. C'est pour les deux jeunes. Il nous faut la totale.
Frères et sœurs ? mariés ou aucun lien ?
Aucun lien. C'est plus sûr.
Venez jeunes gens, je vais vous prendre en photo.
Camille dépose le petit sac noir aux liserés dorés.
L'homme lui fait un signe de tête approbateur.

[walena]

Il sourit. Vous n'avez pas peur que l'élève dépasse le maître ?...

C'est une possibilité, mais ce n'est pas une crainte... C'était plutôt un fol espoir...

Je me perds un instant à cette évocation. Le savoir et les hommes. Les hommes et les anges...

Il est parfois difficile de savoir qui est l'élève et qui est le maître...Les deux apprennent en côtoyant l'autre.

Je prend également mon arme lorsque nous sortons. J'observe la scène, impressionné par la grue puis par le matériel. Mon regard balance de droite à gauche pour tenter de comprendre l'origine de cette magie que je sens à l'oeuvre ici.

[liliandre]

C'est une énergie surnaturelle. [pas d'indice occulte]

Les jeunes rentrent dans le container. Il y a un font neutre. Des puces électroniques.

Lui... L'homme en costume et aux épaules larges te montre.
Il te regarde de travers.
Il va devoir attendre plus loin.
Camille te regarde. Il s'interroge. Un problème ?
Il a une arme, il est curieux et il dissimule quelque chose.
Camille parait gêné.
Je...
L'homme reprend : Qu'il s'éloigne.
Je m'en occupe. Notre but n'est pas de te contrarier.
Camille te regarde un peu surpris.

[walena]

Je soulève délicatement mon blouson montrant le holster où est rangée mon arme. Je parle doucement, sans aucune agressivité. La patience est une de ces rares vertus que les siècles ont su faire grandir...

-Je suis armé et je confesse être curieux. Mais je n'ai aucune envie de vous nuire ni de vous rendre mal à l'aise. Rien de personnel ou de malveillant dans cette curiosité.

Je laisse retomber mon blouson sur mon arme. J'affiche un sourire diplomate à l'homme en costume et aux larges épaules ainsi qu'un signe de tête vers Camille.

-Tout ceci ne nécessite pas ma présence de toutes façons. Je vous attends un peu plus loin.

Je m'éloigne de quelques pas faisant signe aux deux jeunes de ne pas s'inquiéter.

[liliandre]

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Tu t'éloignes.

Tu entends le mécanisme du porte-container qui se met en marche pour le remonter.

Normal ? pas normal ? Tu n'as pas fini de formuler la question dans ton esprit qu'une bagarre éclate à l'intérieur.
Un coup de feu.

Tu cours. Tu sautes. [fo+sport: 2 succès !!!]
Tu t'accroches au container qui quitte le sol.
Deuxième coup de feu.

L'une des portes encore ouverte tape le container au gré des balancement car la grue portique vient de se mettre en mouvement.

[walena]

Un coup de feu...

Qu'Il me donne la force...

Je saute et m'agrippe au container. Un deuxième coup de feu...

[Deutéronome 19:10]...que le sang innocent ne soit pas répandu au milieu du pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne pour héritage...Les hommes ont-ils oublié Tes paroles?

Je déploie mes blanches ailes d'ange avant de me hisser à l'intérieur du container.

"Ma foi est ma force..."

Je sors mon arme.

[liliandre]

F : EC.
Ca : -3 A
F : -3
Ca : -2 A
Chris : -1

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Tout se passe très vite.

Tu fais irruption dans le container.
Le faussaire a blessé Camille.
Camille a blessé le faussaire.
Le regard effrayé des jeunes gens en direction du faussaire t'indique ta cible.
Tu tires à bout portant. Il saigne peu mais s'effondre. -1
Son pouvoir s'estompe. Tout le monde le voit alors tel qu'il est.


Camille va pour l'achever d'une balle dans la tête. Puis il s'arrête net. Il pose son pistolet et ouvre la bourse, il en sort un des trois pieux noirs au liserés rouge sang. Il le plante dans le cœur du faussaire. Il récupère la bourse avec les deux pieux restants et s'assied pour regarder sa blessure.

Les jeunes gens sont pétrifiés.
Camille te regarde. Il hallucine.
Merci.
Il serre les dents sous l'effet de la douleur. Mais sa blessure ne saigne plus...(-3 --> -2)

Le container s'arrête en hauteur (20 m).
Le talkie du faussaire se fait entendre (voix masculine): C'est bon Patron ?

- - -
Edit : Seul Camille voit tes ailes. Pour les deux jeunes, tu as une aura de sauveur...c'est tout.

[walena]

La créature s'effondre. Son visage marqué d'ignobles cicatrices et coutures se révèle à tous. Cette face mutilée ne peut que faire écho à celle entrevue sur la vidéo montrée par Sahrel. Ma voix se fait froide en prononçant lentement le nom de que je crois être à mes pieds.

-Un Fell?

Je baisse lentement mon arme. Camille enfonce un pieu étrange dans le coeur du faussaire. Je vérifie que ce dernier n'ait plus de pouls puis jette un coup d'oeil à la blessure de Camille. Il ne saigne plus. Il me remercie. Je lui pose la main sur l'épaule, lui adressant un regard apaisant.

-Merci à vous. Nous vous devons beaucoup.

Je m'approche des jeunes et m'agenouille auprès d'eux. Je me veux rassurant.

-Cet être malfaisant ne nuira plus à personne.

Le talkie du faussaire crache. Je m'en saisis et réponds d'une voix sûre mais inquiète.

-Il y a eu un problème. C'est réglé mais il y a eu de la casse... Votre patron. Je pense l'avoir stabilisé mais il aurait besoin de plus de soin.

[liliandre]

Cette face mutilée ne peut que faire écho à celle entrevue sur la vidéo montrée par Sahrel.

[ Petit rappel sans conséquence par rapport à ton propos mais c'est pour être précis. Non le nosfératu n'apparait pas sur la vidéo. C'est Sarhel qui le voit mais il ne sait pas si il avait une autre apparence ou si personne ne le voyait.
Il te l'a néanmoins décrit. Ce qui fait écho.

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Ma voix se fait froide en prononçant lentement le nom de que je crois être à mes pieds.

-Un Fell?

Tout bas, seulement à toi.
un de ceux qui marchent la nuit, un Nosfératu...
Camille n'en revient pas d'avoir été attaqué. Tes ailes aussi l'interrogent. Il semble un peu perdu. Il n'arrive plus à cligner des yeux.

-Merci à vous. Nous vous devons beaucoup.

Il montre la paroi du container. Tu y vois la trace du poing du nosfératu. Une force surhumaine.
Il m'a raté. Je n'aurai sûrement pas encaissé le coup suivant. Il aurait pu tous nous tuer.
Camille s'est vu mourir. La vision d'un ange rajoute à ses émotions.

Je m'approche des jeunes et m'agenouille auprès d'eux. Je me veux rassurant.
-Cet être malfaisant ne nuira plus à personne.

Ils hochent la tête. La jeune femme se blottit dans les bras de son Roméo qui déglutit : La prochaine fois, je m'en fous, je prends le flingue.

-Il y a eu un problème. C'est réglé mais il y a eu de la casse... Votre patron. Je pense l'avoir stabilisé mais il aurait besoin de plus de soin.

Vous êtes qui, vous ?
Camille te fait signe de lui passer le talkie : Tu vas descendre le container et et nous laisser la voie libre ou on tue ton domitor. Pour le reste, tu verras ça avec le Shériff.
Tu enregistres ces mots du lexique de la nuit.
On l’emmène avec nous.

Vous quittez les quais avec un Nosfératu dans le coffre de la voiture. Et toujours pas de faux papiers.
Camille a laissé le jeune ou toi conduire.
Il nous faut un endroit discret. Pas chez vous. Pas la fondation. Je dois contacter mon domitor.
Il te regarde espérant que tu puisses trouver ça.